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SUITE A L'ARTICLE SUR LA PROPOLIS. POURQUOI LES MÉDECINS RIGOLENT-ILS?

Après l'article  sur la propolis il y a eu une  question :
« Mais si la propolis avait tant de vertus, cela se saurait ! Si c’est vrai, pourquoi 99 % des médecins rigolent quand ils entendent parler des « remèdes des abeilles » ? »

C’est une question très pertinente !! 


Moi-même, je me la suis posée des centaines de fois. 

Et après beaucoup de réflexion, je crois avoir trouvé la réponse. 

On s’imagine parfois que tous les remèdes potentiels – chimiques ou naturels – ont été parfaitement testés et re-testés scientifiquement. 

On croit donc que les médicaments chimiques doivent avoir mieux « réussi » ces tests… puisque ce sont eux (et pas les remèdes naturels !) que les autorités et les médecins recommandent. 

Mais pas du tout ! 

La réalité, c’est que 90 % de la recherche médicale est financée par les laboratoires pharmaceutiques. 

Or ces multinationales excluent par principe la recherche sur les remèdes naturels. 

Pourquoi ? Pour une raison simple, que l’on peut d’ailleurs difficilement leur reprocher. 

Si un grand labo pharmaceutique dépensait des millions d’euros pour prouver l’efficacité d’un remède naturel, ce serait de l’argent investi en pure perte. 

N’oubliez pas que les laboratoires sont des entreprises à but lucratif, pas des fondations d’utilité publique. 

Ce qu’ils cherchent, ce sont des molécules de synthèse qu’ils pourront breveter, qu’ils seront les seuls à commercialiser et dont ils pourront donc tirer un bon « retour sur investissement ». 

Heureusement, il existe aussi des recherches financées par des États ou des fondations d’utilité publique. 


Une petite révolution est en marche


Mais les États sont de plus en plus endettés. Et leurs moyens financiers font pâle figure face aux budgets colossaux des géants du médicament. 


Et comme si cela ne suffisait pas, au sein même de la recherche publique, la quête des remèdes naturels est très minoritaire. 

Au total, on doit donc trouver 1 étude sur des remèdes naturels pour 99 études sur des molécules chimiques. 

Mais nous sommes en train de vivre une petite révolution. 

En ce début de 21ème siècle, le nombre d’études scientifiques et médicales est en train d’exploser, aux quatre coins du monde. 

Même si les recherches sur les produits naturels restent minoritaires, elles sont mathématiquement de plus en plus nombreuses ! 

En deux clics, depuis n’importe quel ordinateur, vous et moi avons désormais accès : 

  • Aux récentes études de chercheurs chinois prouvant l’efficacité étonnante d’une plante locale, l’uperzine A, contre Alzheimer ; 

  • A l’accumulation d’études indiennes prouvant les bienfaits du hatha yoga (le trésor national), notamment en accompagnement du cancer ; 

  • Ou encore aux études brésiliennes sur la propolis, dont je vous ai parlé dans ma dernière lettre ! 


Et grâce à toutes ces études, nous savons désormais que de nombreux remèdes naturels traditionnels sont puissants et sans danger



Combien de temps feront-ils la sourde oreille ?


Pourtant, ils ne sont toujours pas prescrits par les médecins. 


Pourquoi ? Parce quel les médecins suivent les recommandations des autorités de santé… 

…et que les autorités de santé se réfugient derrière un argument de mauvaise foi

Ces remèdes, disent-elles, ne sont pas prouvés à 100 % car ils n’ont pas été testés sur des milliers de personnes pendant des années. 

Mais c’est le serpent qui se mord la queue ! 

Car seules les multinationales pharmaceutiques ont les moyens d’aligner les dizaines de millions d’euros nécessaires pour faire ces études à grande échelle. 

Bien sûr, il y a toujours des exceptions. Parfois, l’Etat accepte de mettre la main à la poche. 

C’est le cas par exemple de la Suède, qui a lancé une très grande étude sur la vitamine D. 

Mais on est dans un cas très particulier car : 1) la vitamine D est l’un des 3 ou 4 produits naturels les plus impressionnants qui existe, déjà validé par des milliers d’études ; 2) les Suédois sont traditionnellement très ouverts sur les méthodes naturelles… et 3) ils sont par ailleurs sévèrement carencés en vitamine D, faute de soleil ! 

Dans la plupart des cas, les financements n’existent pas. 

Tout récemment, un brillant médecin-chercheur de l’École Polytechnique, le Dr Alain Schwartz, s’est même vu refuser des fonds publics malgré ses trouvailles particulièrement prometteuses contre le cancer. 

On ne saura donc jamais si les substances naturelles (et sans danger !) découvertes par le Dr Schwartz peuvent faire une vraie différence contre le cancer. 

Et en attendant, les malades n’auront pas d’autre choix que de subir des traitements lourds, faiblement efficaces et aux effets secondaires dramatiques… mais qui ont l’avantage incontestable d’avoir été testés sur des milliers de patients. 

Au total, que ce soit pour les maux du quotidien (infections…) ou la plupart des maladies chroniques (arthrose, diabète, ostéoporose, maladies cardiovasculaires, etc.), vous avez presque toujours deux types de solutions :

  • Des médicaments chimiques testés à grande échelle ; 

  • Des remèdes naturels testés à petite échelle ; 


Et savez-vous pourquoi vous devriez choisir le remède naturel dans la plupart des cas ? 


Là encore, la raison vous est soigneusement cachée. 

C’est parce que les remèdes naturels ont souvent des effets secondaires positifs, bons pour la santé… là où les médicaments n’ont que des effets très indésirables.

Pas de médicament sans effet indésirable sérieux


La plupart des médicaments contrecarrent le fonctionnement normal de l’organisme.  


C’est même leur objectif assumé. Par exemple, les médicaments anti-infarctus fluidifient votre sang, pour éviter les caillots et les accidents cardiaques. 

À court terme, cela peut vous sauver la vie. Mais à long terme, c’est problématique. 

Car ce n’est pas pour nous embêter que notre sang est « peu fluide ». C’est pour réparer les artères endommagées et les aider à cicatriser par une petite croûte. 

Si vous fluidifiez votre sang, vous réduisez votre risque d’infarctus (qui survient quand une « croûte » forme un caillot et bouche l’artère)… mais vous augmentez votre risque d’AVC hémorragique (une artère de votre cerveau se rompt, faute d’avoir été « réparée » par une croûte). 

Même chose pour les médicaments contre l’hypertension, qui forcent votre corps à abaisser sa tension artérielle. 

Ils limitent les dégâts, mais ils ne sont pas l’idéal. Car ce n’est pas par méchanceté que votre corps élève votre tension. 

Dans de nombreux cas, c’est parce que vos artères sont en mauvais état et que vous avez besoin d’une pression plus forte pour que votre sang atteigne tous vos organes et les irrigue en oxygène ! 

Si vous faites baisser la pression artificiellement, vous éviterez certains des risques, mais vous en prenez d’autres – car vos reins et votre cœur sont moins bien irrigués ! 

Voilà pourquoi on parle toujours de « bénéfice-risque » pour les médicaments. Leur principe même est de « détraquer » un endroit de votre organisme, dans l’espoir de faire « plus de bien que de mal ». 


Les risques sont toujours plus grands que ce que l’on vous dit !


Parfois, le jeu en vaut la chandelle, surtout en cas d’urgence. Les antibiotiques ravagent votre flore intestinale, mais peuvent vous sauver la vie d’une infection grave. 


Mais quand vous les prenez sur longue période, le calcul bénéfice / risque est presque toujours défavorable aux médicaments. 

Surtout que dans la plupart des cas, on ne connaît pas l’ampleur des risques que l’on est en train de prendre ! 

Car les essais cliniques durent 5 ans au maximum… alors que de nombreux médicaments se prennent sur des dizaines d’années. 

Et c’est ainsi que, après des années de mise sur le marché, on s’est aperçu un peu tard que : 

  • Les médicaments anti-inflammatoires multiplient par deux votre risque de crise cardiaque, et peuvent vous faire des trous dans l’estomac ; 

  • Les médicaments antiacides, contre les brûlures d’estomac (IPP), augmentent le risque d’Alzheimer, de maladie du cœur et des reins – pas étonnant quand on sait que l’acidité de l’estomac est essentielle pour bien digérer les aliments et lutter contre les infections bactériennes ! 

  • Les médicaments antidépresseurs accroissent le risque d’ostéoporose, de maladie cardiaque… et peut-être même de… dépression. 

  • Et je pourrais continuer la liste pendant des pages et des pages. 


La différence avec les meilleurs remèdes naturels est frappante. 



Les magnifiques « effets secondaires » des remèdes naturels


Dans la plupart des cas, les solutions naturelles ne se contentent pas d’agir sur le symptôme – la fièvre, la tension, la douleur. 


Elles rééquilibrent votre organisme et activent vos forces de guérison pour vaincre le problème en profondeur

Par exemple :

  • Le curcuma est efficace contre les douleurs de l’arthrose par son puissant effet antiinflammatoire, mais il a des dizaines d’autres effets thérapeutiques, y compris celui d’être anti-cancer ; 

  • Les probiotiques améliorent les symptômes de la dépression en renforçant votre flore intestinale… mais le rééquilibrage de votre flore a aussi une cascade d’effets positifs sur votre santé globale ; 

  • Les omega-3 vous protègent contre la crise cardiaque parce que ce sont des acides gras essentiels au bon fonctionnement de plusieurs organes… dont le cerveau ! 


En fait, les remèdes naturels les plus précieux n’ont pas d’effet secondaire… à part vous faire du bien ailleurs dans l’organisme ! 


Si vous prenez de la vitamine K2 pour avoir des os solides, vous en profitez pour réduire drastiquement votre risque de crise cardiaque. 

Si vous prenez de la rhodiola (une plante sibérienne) pour mieux gérer votre anxiété, vous en profitez pour éloigner la dépression, stimuler votre cerveau et gagner en énergie. 

Et si vous prenez de la propolis contre le mal de gorge… et bien vous je vous laisse relirema dernière lettre (ici) sur tous les bienfaits que vous pouvez en attendre ! 


Source:
Xavier Basin la lettre santé corps esprit

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