Un Coach de vie pour se comprendre et mieux vivre

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SI ON PARLAIT DE LA MEDECINE ANTI AGE AU NATURELLE

Bonjour à tous, je reviens d'une formation anti âge chez le docteur Hertogue, président mondial de la médecine anti âge. Je m’aperçois qu'au delà de l'apparence, il y a temps à traiter, le corps bien sûr, mais comment avoir un corps en bonne santé si l'esprit ne suit pas. Loin de moi l'idée de faire une médecine new âge, mais c'est une idée qui trotte en Suisse grâce à Xavier Bazin, chez le professeur joyeux, chez le docteur Hertogue. Et si cette médecine était pour vous?
Comme vous le savez tous, je n'avais pas la vocation de d'être praticien de santé, jusqu'à ce que je fasse un AVC oculaire, et un an après une tumeur au rein gauche, ces maladies m'ont permises de voir  l’errance médicale, allant de médecins en médecins, essayant de multiples thérapies, effectuant d’innombrables recherches personnelles.
 
La médecine officielle m’a dit ne rien pouvoir faire pour moi.
 
Heureusement, j’ai découvert par moi-même l’éventail incroyable des solutions naturelles qui guérissent. J’ai fait beaucoup de changements dans ma vie.
 
Et je considère aujourd’hui que cette épreuve a été une véritable chance.
Je sais que la rechute est toujours possible. Mais grâce à tout ce que j’ai appris, j’ai trouvé aujourd’hui un équilibre et une qualité de vie que je n’ai jamais connue.
 
C’est ce qui m’a poussé à partager ce savoir, à le communiquer autour de moi.
 
J’ai commencé à organiser des conférences. J’ai travaillé avec les plus grands thérapeutes, à commencer par  Alain Cayrol, Philippe Bertholon, Montserrat gascon, Le vaidya Chethu Weerasinghe, le Professeur Joyeux, l'équipe du Dr Hertogue. 

L’une de mes obsessions est de combattre un préjugé qui fait énormément de mal.
 
C’est une vieille rengaine, à la quelle vous aussi vous êtes sans doute confronté :
 
Les méthodes naturelles seraient uniquement des médecines « douces », tout juste bonnes à soulager les « bobos », les « petites douleurs », les « inconforts ».
 
En réalité, j’ai observé que c’est le contraire qui est vrai :
 
C’est sur les maladies les plus graves que l’impact des méthodes naturelles est généralement le plus spectaculaire.
 
Pour le prouver, je prends souvent l’exemple de la maladie de Parkinson.
 
Car c’est une maladie lourde, incurable, dont on comprend mal les causes et le mécanisme.
 
Du coup, beaucoup de gens peinent à imaginer qu’il existe des approches naturelles, corps ET esprit, efficaces contre cette maladie. J'ai ma grand mère maternelle qui à été touchée par cette maladie. 
 
J’ai donc rassemblé toutes les preuves, et je suis sûre que, comme moi, vous allez être émerveillé.
 
Car cela commence par le « médicament » de référence de la médecine conventionnelle contre cette maladie :
 
Le traitement de référence contre Parkinson est une substance naturelle !
 
Ce que les laboratoires pharmaceutiques se gardent bien de vous dire, c’est que le médicament de référence, la L-Dopa, est en réalité… une substance naturelle, un acide aminé que l’on trouve dans le monde animal et végétal.
 
C’est même dans une légumineuse, la « fève du marais » que cette substance a été isolée pour la première fois en 1913.
 
Ce n’est que dans les années 1960 que les scientifiques occidentaux ont compris l’intérêt de cette substance contre Parkinson – et les laboratoires ont alors commencé à la synthétiser chimiquement pour en faire une production de masse.
 
Une avancée décisive pour les malades ? En Occident, oui… mais pas en Inde !
 
Car cela faisait des siècles que les médecins ayurvédiques avaient un remède efficace contre la maladie de Parkinson [1]. Il s’agit du pois mascate (Mucuna Pruriens), une autre légumineuse incroyablement dosée en L-dopa !
 
Cette plante est peut-être même plus efficace que la molécule de synthèse. Il faudrait de nouvelles recherches pour en être certain, mais le seul essai clinique qui a comparé scientifiquement la L-dopa « industrielle » à un extrait de Mucuna Pruriens a donné des résultats… favorables à la plante [2] !
 
Dans tous les cas, le problème est reste que la L-Dopa n’est pas efficace éternellement. Au bout de quelques années, elle agit de moins en moins, et finit par causer de douloureux effets secondaires.
 
C’est pourquoi les méthodes naturelles complémentaires sont si précieuses.
 
Vitamines et épices : mieux que des médicaments ?
 
Posez la question autour de vous : une « simple » vitamine serait-elle capable d’agir sur une maladie aussi « lourde » que Parkinson ?
 
Beaucoup vous riront au nez… mais c’est pourtant souvent le cas.
 
Plusieurs études ont montré que les Parkinsoniens sont généralement carencés en vitamine D. C’est déjà une excellente raison de veiller à combler cette carence – surtout que cette vitamine n’a pas d’effet indésirable. Au contraire, elle vous évite une myriade d’autres maladies, des cancers aux maladies du cœur, en passant par l’ostéoporose et la dépression.
 
Mais une étude japonaise de 2013, réalisée en double aveugle, a prouvé qu’elle faisait encore mieux que prévenir la maladie : une supplémentation de vitamine D permet deralentir sa progression [3] !
 
Alors, si vous avez Parkinson, mettez-vous immédiatement à 4 000 UI par jour de vitamine D3. Et si vous n’avez pas la maladie : même conseil ! Car c’est l’un des gestes les plus simples que vous puissiez faire pour améliorer votre santé dans son ensemble.
 
D’autres nutriments sont utiles contre Parkinson. Sans être aussi spectaculaires que la vitamine D, ils ne doivent surtout pas être négligés dans une stratégie nutritionnelle complète : oméga-3 (huile de colza, huile de lin), curcumine, poivrons, café (2 à 3 tasses par jour [4]) et thé vert.
 
L’épice porteuse d’espoir contre Parkinson
 
Un des espoirs pour les malades pourrait venir d’une simple épice, la cannelle de Ceylan.
 
Des chercheurs ont découvert en 2014 que la cannelle pourrait inverser les effets de la maladie de Parkinson dans le cerveau, donc potentiellement, guérir. Malheureusement, ce résultat extraordinaire n’a été observé que sur des souris [5], et doit impérativement être testé sur l’homme pour confirmer son potentiel.  
 
Mais cela reste un formidable espoir pour les malades, d’autant qu’il n’y a aucune raison pour eux, en attendant, de se priver de cette épice : non seulement la cannelle est délicieuse mais elle n’a aucune toxicité.
 
L’activité reine pour optimiser votre système nerveux
 
Les nutriments sont précieux, mais l’approche la plus spectaculaire pour ralentir la maladie est une forme particulière d’activité physique.
 
Depuis une dizaine d’années, les médecins commencent à réaliser le fabuleux impact des exercices à « haute intensité » contre les maladies neurologiques.
 
Ils se sont rendu compte que les efforts aigus d’activités comme la musculation stimulent fortement le système nerveux central.
 
Et de fait, deux études récentes, une danoise et une américaine, ont confirmé que la musculation avait bien des effets hors normes contre Parkinson.
 
Il a suffi que des patients soulèvent des charges lourdes, deux à trois fois par semaine pendant plusieurs mois, pour qu’ils bénéficient d’une diminution forte et durable de leurs symptômes [6].
 
Ce sont des résultats plus que prometteurs, à peine égalés par les médicaments standards !
 
Le seul bémol est que la musculation n’est pas accessible aux patients les plus atteints. Mais il existe  une autre activité qui peut se pratiquer sans risque et sans limite :
 
Un Tango contre Parkinson
 
Danser contre Parkinson ? Cela peut paraître surprenant… mais les patients en redemandent !
 
Tout a commencé au début des années 2000, quand des New-Yorkais ont créé un programme appelé « Dance for Parkinson ». Le succès a été immédiat : il s’est répandu comme une traînée de poudre et s’est implanté dans plus de 13 pays.
 
Entre-temps, un neurologue italien a découvert par hasard les effets étonnants d’une danse traditionnelle irlandaise sur la maladie. Il séjournait en Irlande quand il a observé, dans un pub, un malade de Parkinson se mettre à danser frénétiquement, avec souplesse et équilibre. De retour en Italie, il s’est précipité pour monter une petite étude en 2012… qui a montré que cette danse irlandaise était effectivement plus efficace que les exercices physiques habituels [7] !
 
Encore plus récemment, des chercheurs de l’Université de McGill, au Canada, ont fait danser le Tango à des patients atteints de Parkinson pendant 12 semaines… et ils ont constaté une forte amélioration de leur équilibre et mobilité, comparé à une activité physique standard [8] !
 
Ce succès de la danse s’explique par ses ingrédients clés : elle mêle une activité sportive classique (aéorbic) à des exercices d’équilibre et de souplesse, tout cela accompagné de musiques rythmées qui ont en elles-même un impact positif sur Parkinson [9].
 
Et le plus beau, c’est que la danse est une activité amusante – qui donne la motivation pour continuer – et qui se pratique en groupe, avec d’autres personnes, avec la vague d’effets positifs que cela implique pour le réseau social, le moral, la joie de vivre… et la santé.  

Car vous le savez, le corps et l’esprit sont intimement liés : 

  • la peau est le miroir particulier de ce qui se passe à l’intérieur de nous même ;  

  • l’appareil digestif et tout ce qu’il contient est très sensible, et ses troubles se répercutent sur les neurones de notre cerveau ; 

  • nos glandes hormonales sont précieuses à nos équilibres féminins ou masculins ; 

  • nos défenses immunitaires s’amenuisent quand nous sommes déprimés… 

Voilà pourquoi prendre soin de votre corps ne suffit pas. Il faut aussi travailler à l’équilibre des trois zones fonctionnelles de votre cerveau : 

Notre premier cerveau, fait de substance grise et blanche, permet de mémoriser, penser, parler, décider, agir…  

Notre deuxième cerveau émotionnel et affectif, avec ses six noyaux gris en son centre, régule nos humeurs et règle notre démarche et nos équilibres.   

Notre troisième cerveau est mimétique et relationnel, il gère par ses neurones miroirs notre complexité mentale qui cherche sans cesse le sens de notre vie et développe nos démarches spirituelles. Elles atteignent et animent la fine pointe de notre Etre. 

Vivre centenaire et en pleine forme est un rêve. Comme Jeanne Calment, qui a fait de la bicyclette jusqu’à l’âge de 100 ans, et vécu avec toute sa tête jusqu’à 122 ans.  

Savez-vous à quoi elle attribuait sa forme légendaire ? 

Aux morceaux de chocolat, au petit verre de bon vin, à l’huile d’olive dont elle se nourrissait chaque jour. Et c’est certainement en partie vrai. Les flavanoïdes du cacao et les polyphénols du vin et de l’huile d’olive sont excellents pour la santé et la longévité. 

Mais je pense que ce n’est qu’une partie de l’histoire. Jeanne Calment était également connue pour rayonner d’optimisme, de sérénité, de curiosité et d’humour. Voilà un autre moteur de santé et de longévité, qui préserve notre système cardiovasculaire !  

On l’oublie souvent, mais la façon dont vous nourrissez votre esprit est aussi importante que la façon dont vous alimentez votre corps. 

J’ai rencontré dans ma vie des milliers de patients touchés par le cancer. Evidemment, beaucoup avaient de gros progrès à faire sur leur alimentation et leur hygiène de vie. 

Mais une petite partie d’entre eux faisait « tout bien » : alimentation bio et équilibrée, activité physique régulière, évitement des polluants de la vie moderne. Comment avaient-ils pu avoir le cancer ? 

La réponse se trouve généralement dans leur histoire personnelle. Certains vivaient un stress chronique, qui les rongeait de l’intérieur. D’autres avaient subi un choc brutal, un traumatisme qui les avait durablement fragilisés. 

C’est pourquoi il est si important pour guérir de prendre soin du corps ET de l’esprit

Trop souvent, on sépare les deux, y compris dans la santé naturelle. 

On met d’un côté les médecins experts en nutrition. De l’autre, ceux qui connaissent parfaitement les plantes médicinales, en phyto, homéo ou aromathérapie. Et on met encore à part une troisième catégorie : les spécialistes de l’équilibre émotionnel.  

Or ces approches sont toutes aussi importantes les unes que les autres !  
Veiller à la santé de notre corps et de nos trois cerveaux, voilà le secret pour bien vieillir, sans douleur ni maladie. 

Tout cela je vous le propose en cabinet, avec déjà de très beaux résultats, et pas seulement sur le Parkinson. 
-SEP
-Fibromyalgie
-Asperger
-Suite AVC
-Déminéralisations osseuses
-Douleurs inexpliquées

Je travaille actuellement avec des cabinets de kinésithérapies, des ostéopathes, et des infirmiers. 

Alors, je vous propose de me retrouver en cabinet pour parler de votre objectif longue vie en santé!

Anne Gandolfini®-Muller


 

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