Souvent Le professeur Joyeux dénonce les vaccins, je vous propose sa dernière lettre sur les vaccins, j'espère que cela commence à répondre aux questions que vous me posez souvent en séance:
Me trouvez-vous excessif ?
Chers amis de la Santé,
Je vous envoie cette semaine ma tribune « Vaccinations : santé publique ou business ? » proposée aux journaux Le Monde etLe Figaro il y a déjà une semaine.
A ce jour, je n’ai reçu aucune nouvelle.
Ne trouvez-vous pas cela étonnant, pour un sujet qui touche des millions de familles ? Auraient-ils peur de déplaire à la ministre Marisol Touraine ? Ou aux laboratoires pharmaceutiques qui paient des pages de publicité dans de nombreux médias ?
Une chose est sure, personne ne peut vous censurer.
Vous êtes plus de 550 000 à recevoir ma lettre chaque semaine. Ensemble, nous pouvons toucher des millions de personnes.
Voici donc mon article. Suis-je « excessif » ? Politiquement ou médicalement « incorrect » ? Je serais heureux d'avoir votre sentiment :
Vaccinations : santé publique ou business ?
Enfin un vrai débat citoyen sur les vaccins ! La pétition signée par près de 800 000 personnes a réveillé les responsables politiques, les médecins, mais peu les fabricants qui attendent.
Contrairement à ce qui a été diffusé, les pétitionnaires ne refusent pas la vaccination obligatoire selon la loi, contre Diphtérie-Tétanos-Polio. Ils ne veulent pas que leur soit imposée une vaccination dont leurs enfants en pleine santé n’ont pas besoin. Les familles ont compris l’arnaque des fabricants qui ont organisé la pénurie, sans avertir personnes, avec des prétextes pseudo-scientifiques pour proposer un vaccin 7 fois plus cher.
De plus en plus de familles ne veulent donc pas imposer à leurs enfants la vaccination contre les 3 maladies supplémentaires qu’on cherche à rendre obligatoire. Ce sont la coqueluche qu’on peut développer plusieurs fois malgré la vaccination, l’hémophilus inflenzae b responsable de méningite chez des enfants en mauvaise santé et l’hépatite B. Ce virus de l’hépatite, on peut l’attraper si on travaille dans les milieux de la santé, si on se drogue ou si on multiplie les partenaires intimes.
Vacciner à deux mois c’est trop tôt
En plus ce n’est pas sans danger, car le système immunitaire du bébé n’est pas mature. C’est pour stimuler l’immunité immature du bébé que l’on a introduit un adjuvant avec des arguments plus émotionnels que scientifiques. Un des premiers adjuvants fut le mercure sous la forme du thiomersal désormais interdit, car il peut s’accumuler dans différents organes du corps. Il a donc été remplacé par l’aluminium qui n’a rien à faire dans notre corps et n’est pas sans aucun risque. Cet adjuvant est si dangereux dans les vaccins animaux qu’il vient d’être retiré par le laboratoire Merial, - le plus sérieux producteur de vaccins vétérinaires -, pour éviter certaines tumeurs cancéreuses, des sarcomes, chez les chats surtout et les chiens.
Les familles dans toute l’Europe et plus largement, attendent donc avec impatience le DTP sans aluminium
Elles n’ont pas à écouler les stocks de vaccins hexavalents que proposent médecins et pharmaciens poussés par l’industrie et la publicité. La loi qui impose le DTP, n’impose pas les autres valences. Cette vente forcée, ”liée” justifie une requête devant le Conseil d’Etat.
Récemment les chercheurs ont identifié chez les nouveaux nés un profil immunitaire associé aux risques d’allergies alimentaires. Ils n’évoquent pas évidemment les vaccinations excessives, mais il y a de quoi y penser quand on connaît bien le système immunitaire. Celui d’un nouveau né n’est pas mature avant sa deuxième année. Son immunité se construit en 1000 jours depuis la conception, très progressivement in utero, puis lors de l’accouchement par voie naturelle et grâce au lait maternel, qui contient les immunoglobulines et les anticorps protecteurs de sa mère.
Le carnet de vaccination doit être revu et donner des conseils aux jeunes mamans
Les laboratoires sont parvenus en médicalisant l’émotion, à obtenir la vaccination dès deux mois après la naissance. Or le meilleur vaccin, c’est l’allaitement maternel comme le recommande l’OMS, 6 mois intégralement et 1 année matin et soir avant de partir et au retour du travail. Evidemment, ce n’est pas l’intérêt des lobbies des ”meilleurs laits infantiles” aux publicités douteuses. Le prochain carnet électronique de vaccination devra donc donner des conseils de prévention santé et ne peut être conçu par les fabricants de vaccins.
Les 59 maladies microbiennes et l’efficacité douteuse du vaccin contre la grippe
J’ai recensé 59 maladies infectieuses dues à des bactéries ou bacilles (23), des virus (26), des parasites (8), des champignons (2). Certains illusionnistes rêvent de nanos vaccins, qui en une seule injection, nous immuniseront contre toutes ces maladies. Déjà, des spécialistes cherchent à imposer la vaccination des enfants dès 9 ans (en CM1-CM2), garçons et filles contre les papillomas virus transmissibles par voie sexuelle, responsables de cancers du col de l’utérus ou de la zone ORL. Les complications sont si importantes avec ces vaccins que plusieurs pays d’abord très enthousiastes les ont interdits.
Quant à la vaccination contre la grippe, dont l’efficacité est mise en doute par les spécialistes, elle est offerte par la ministre pour 536 millions d’euros aux 10 millions de personnes de plus de 65 ans. C’est du gaspillage pour au moins 8 millions de personnes en bonne santé. Cet argent de nos impôts doit être réservé aux familles de réfugiés qui peuvent en avoir vraiment besoin.
Les familles, les mères surtout sont particulièrement attentives à la santé de leur bébé. Elles sont de plus en plus compétentes en matière de santé et posent les bonnes questions. Elles voient bien les allergies de plus en plus fréquentes dont sont atteints leurs enfants. Elles connaissent les maladies auto-immunes dans leur famille ou leur entourage. Or c’est le système immunitaire qui réagit comme jamais dans le passé.
Lutter contre la défiance vaccinale comme le souhaite la ministre, c’est d’abord assurer la transparence scientifique. Ce n’est pas aux politiques à décider mais au médecin dûment formé qui est prescripteur et responsable de ses actes.
Professeur Henri Joyeux
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