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ARTHROSE: LA PLANTE DONT PERSONNE NE PARLE

C’est toujours pareil avec les vedettes : à capter toute la lumière, elles laissent dans les coulisses des personnalités plus discrètes… et qui mériteraient pourtant d’être mieux connues. 


Prenons le cas de… l’arthrose

Même quelqu’un qui aurait vécu de longues années dans une caverne a entendu parler de l’harpagophytum, reine des plantes anti-inflammatoires, aussi connue sous l’alias de « griffe du diable ». 






C’est LA star des plantes contre les douleurs articulaires, avec un CV long comme le bras, agrémenté d’études scientifiques à la pelle qui ont montré sa capacité unique de réduire le niveau de cytokines, les agents d’inflammation [1].



Grâce à cette plante, la douleur régresse de 25 à 45 % alors que la mobilité augmente d’autant [2]. De plus, comme les oméga-3, elle inhibe les enzymes qui digèrent le cartilage. 

Bien. Mais ça, vous le savez sûrement déjà. 

Alors, aujourd’hui, je voudrais vous parler d’une autre plante restée dans l’ombre : la scrofulaire noueuse





« Çmanque de glam’, ma chérie ! »


Évidemment, avec un nom pareil, il faut reconnaître que c’était mal parti pour la gloire… 


La scrofulaire tient en effet son nom de sa capacité à traiter les scrofules, c’est-à-dire des lésions de la peau assez disgracieuses, conséquences de gonflements importants des ganglions du cou. 

Ces scrofules sont l’une des manifestations de la tuberculose ganglionnaire. Par extension, on a également nommé scrofules les papules rouges et enflammées qui donnent un aspect bosselé au visage dans les cas d’acné importante. 

La plante était donc destinée aux tuberculeux et aux scrofuleux, ce qui, comme dirait l’animatrice de télévision Christina Cordula, « manque carrément de glam’, ma chérie. » [3] 

Mais vous le savez, nous n’avons pas pour habitude de nous arrêter aux apparences. 

En s’intéressant de plus près à la scrofulaire, on découvre qu’elle partage un principe actif avec l’harpagophytum : l’harpagoside, un anti-inflammatoire naturel. Et cela dans des proportions très similaires ; l’harpagophytum en contient environ 1,2 %, la scrofulaire 1,1 % [4]. 

Au cinéma, on dirait que c’est la doublure parfaite de la star. Et cela se confirme dans les études scientifiques qui valident l’intérêt de l’extrait aqueux de scrofulaire contre les douleurs articulaires [5]. 

Mais la « plante qui manque de glam’ » a un autre atout, dont ne peut se vanter l’harpagophytum : son effet dépuratif (qui débarrasse des toxines et déchets). 

Bingo ! 

Et pour bien comprendre l’enjeu, je laisse la parole au naturopathe Nicolas Wirth, qui a publié une passionnante étude sur la scrofulaire dans la revue Alternatif Bien-Être [6]. Voici ce qu’il dit : 


« En naturopathie, il faut rappeler que de nombreux troubles sont liés à un déséquilibre acido-basique. » 


« Les troubles articulaires sont liés à une surcharge d’acidité qui enflamme et déminéralise les articulations, ce qui fait le lit des douleurs et de l’usure prématurée ». 


« La médecine naturelle causaliste, ou la naturopathie, proposent généralement d’agir simultanément sur ces deux paramètres, l’inflammation et l’élimination des surcharges, ce qui permet d’augmenter les effets mais aussi de traiter l’une des causes majeures. » 




Bingo ! C’est précisément ce que permet la scrofulaire : un effet anti-inflammatoire et un drainage des toxines par le foie et les reins.

Vous allez me dire : ce n’est pas la seule plante drainante, tout de même ! L’artichaut, le romarin, la verge d’or etc. sont régulièrement citées dans cette catégorie et partagent avec la scrofulaire une composition où l’on retrouve des acides phénols, activateurs de la fonction métabolique (drainage notamment). 

Certes. Mais la scrofulaire agit aussi sur la lymphe. 

Et souvenez-vous que la lymphe représente environ 20 % de notre volume corporel et est donc plus abondante que notre sang, qui en représente seulement 5 %. C’est comme une mer intérieure dans laquelle baignent tous nos tissus et cellules. 

C’est elle qui véhicule de nombreuses toxines : les pesticides, les métaux lourds et les molécules chimiques de toutes sortes qui proviennent de notre atmosphère, de notre alimentation, des médicaments etc. 

Il faut reconnaître ici que cela n’est pas validé par des études, mais on dit traditionnellement de la scrofulaire qu’elle stimule la circulation lymphatique et désengorge les « embouteillages ganglionnaires », lorsqu’une bataille immunitaire a eu lieu, par exemple en cas d’infection. 


« Les éléments indésirables peuvent ensuite être éliminés plus facilement par les selles grâce aux anthraquinones de la scrofulaire, qui stimulent l’intestin et les ganglions lymphatiques placés le long de sa paroi ».




Conclusion du naturophathe : 


« Pour un effet antalgique il n’y aucune raison de ne pas préférer la scrofulaire à l’harpagophytum.»




D’autant que la plante pousse facilement en France et que cela permet d’éviter le recours à l’harpagophytum, plante cultivée, elle, à l’autre bout du monde, et de garantir ainsi une plus faible empreinte carbone et de meilleurs contrôles des conditions d’exploitation.

À consommer en décoction de racine. Faire bouillir 10 minutes 15 à 20 g par litre d’eau. 

Boire 2 tasses par jour en faisant la grimace, car le goût n’est pas non plus… très glam’ ! 

On peut aussi trouver la scrofulaire sous forme d’extrait de plantes standardisées (disponible en pharmacie) : 1 à 2 cuillerées à café 3 fois par jour durant 1 à 2 mois. 

Vaincre l’arthrose naturellement




Je profite de cette lettre pour vous dire que nos experts viennent de mettre la dernière touche à un Rapport Spécial, avec les dernières solutions naturelles validées par la science pour vaincre l’arthrose. 

Vous y découvrez : 

  • Vingt-cinq anti-douleurs naturels pour soulager les crises d’arthrose : sachez déjà que 2 g de curcuma sont aussi efficaces que 800 g d’ibuprofène pour soulager les douleurs de l’arthrose, et sans les effets secondaires ! 

Mais vous verrez aussi les résultats obtenus avec la teinture-mère de cassis (ribes nigrum), à raison de 100 gouttes deux fois par jour dans un peu d’eau avant les repas (en respectant bien nos conseils d’utilisation) ; et il y a aussi la reines des près, le peuplierl’ortie, le saule blanc, la vergerette du Canada (les détails précis et la posologie sont bien sûr dans le dossier) ;
  • La façon efficace de prédire si votre arthrose va s’aggraver (surtout pour la hanche et le genou) ; 

  • La façon de combattre les phénomène de glycation (quand votre corps se caramélise de l’intérieur) et de stress oxydatif… naturellement 

  • Les compléments, les oligoéléments, les exercices (certains assez étonnants) à privilégier pour stopper la progression de l'arthrose ; 

  • Quatre substances pour reconstruire le cartilage afin d’inverser les dégâts de l'arthrose ; 

  • Les aliments anti-inflammatoires et ceux à bannir IMMÉDIATEMENT ; 

  • Etc. 


Mais ce n’est pas tout. 



Oserez-vous ce traitement stupéfiant contre l’arthrose ?


Ce Rapport Spécial est bien plus qu’un simple rapport « classique » sur l’arthrose


TOUS les traitements qui offrent un espoir d’amélioration pour les personnes qui souffrent y sont abordés, même les plus étonnants.

Force de la penséesymbolique de la maladie (vous-êtes vous demandé pourquoi certains souffrent de la hanche quand d’autres ressentent une douleur au genou ou au pied ?), automassages (Vessie 62, Triple réchauffeur, etc.), visualisation… 

Vous allez voir qu’à condition d’ouvrir son esprit, les résultats de l’approche énergétique contre l’arthrose peuvent être STUPEFIANTS. 

Et littéralement changer la vie de la personne qui souffre. 




Sources :Gabriel Combris Pure Santé

[1] Fiebich BL : Inhibition of TNF-alpha synthesis in LPS-stimulated primary human monocytes by Harpagophytum extract SteiHap 69. Phytomedicine. 2001 Jan;8(1):28-30. 

[2] Wegener T : Treatment of patients with arthrosis of hip or knee with an aqueous extract of Devil’s Claw (Harpagophytum procumbens DC.). Phytother Res 2003, 17(10):1165-1172. 

[3] VIDEO GALA – Cris­tina Cordula : ses conseils pour rester glam' cet hiver 

[4] Sesterhenn K1, Distl M, Wink M. Occurrence of iridoid glycosides in in vitro cultures and intact plants of Scrophularia nodosa L. Plant Cell Rep. 2007 Mar;26(3):365-71. Epub 2006 Sep 14.

[5] J. de Santos Galíndez, A.M.a Díaz Lanza, L. Fernández Matellano. Biologically Active Substances from the Genus Scrophularia. Pharmaceutical Biology, 2002, Vol. 40, No. 1 , Pages 45-59. Published online: 29 Sep 2008. 

[6] Alternatif Bien-Être, décembre 2016. 

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