Un Coach de vie pour se comprendre et mieux vivre

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LA QUALITÉ D’ÉCHANGE ENTRE LE CONSULTANT ET LE PRATICIEN

L’écoute entre le consultant et son praticien

Si vous suivez l'actualité médicale, vous êtes au courant de l'affaire du Dr Nicole Delépine, de l'hôpital de Garches. 

Il s'agit d'une femme qui a soigné toute sa vie des enfants atteints de cancer, et qui prend aujourd'hui sa retraite. 

Les autorités de santé en profitent pour fermer son service. Les parents des enfants malades s'y opposent énergiquement. 
Les parents ont lancé plaintes, pétitions, grève de la faim, communiqués de presse pour s'opposer à la fermeture, en vain. 

Ils estiment que leurs enfants sont mieux soignés dans ce service parce que le Dr Delépine utilise des traitements personnalisés et qu'elle ne teste pas sur eux les nouvelles molécules produites par les laboratoires pharmaceutiques. « Nos enfants ne sont pas des cobayes », disent-ils. 

En face, de nombreux cancérologues des autres hôpitaux estiment qu'il est choquant qu'un médecin employé dans un hôpital public :
1.     refuse les protocoles officiels ;
2.     refuse de faire participer ses patients à des études qui pourraient faire avancer la médecine et sauver des patients à l'avenir.
Le Dr Nicole Delépine affirme sauver 90 % de ses patients, soit bien plus que les autres hôpitaux.

Mais elle a aussi refusé que soient menées les études pour confirmer ses propos. Ses succès prodigieux sont donc fortement mis en doute par ses collègues, les autorités, la presse, etc.

Mais alors, me direz-vous, pourquoi tant de parents se précipitent-ils dans son service, pour une raison... excellente


Un vrai docteur d'autrefois c'est avant tout un accompagnateur!

Tous les témoignages concordent : la présence, l'énergie, le dévouement du Dr Delépine pour chacun de ses petits malades, sont exceptionnels :

« Tous les parents ayant rencontré Nicole Delépine racontent sa formidable chaleur, son énergie, son inépuisable dévouement. Auprès d'elle, ils entendent parler de bataille totale, de suivi individuel, de protocole singulier, d'alternative thérapeutique, de refus de traitement standard. Ils comprennent, alors que la mort rôde, qu'une femme, un médecin, fera tout pour guérir leur enfant, adapter heure par heure son traitement, inlassablement guerroyer contre le cancer. Alors, ils y croient, et se battent. » explique le magazine Le Point.
Or, précisément, de bonnes relations avec le médecin et ses collaborateurs contribuent considérablement à la guérison, selon une étude menée pendant deux ans par le WIAD, l’Institut scientifique des médecins allemands, et dont les conclusions ont été présentées début 2011. 

Selon Jana Jünger, médecin chef de la Clinique universitaire de Heidelberg, il est capital d'enseigner aux futurs médecins comment parler aux malades. « À nos yeux, celui qui ne sait pas communiquer ne peut pas devenir médecin. » 

Selon Fabrizio Benedetti, l’un des principaux chercheurs sur le sujet : « Les stimuli sociaux tels que les mots, et les rituels des processus thérapeutiques peuvent modifier la chimie et les connexions cérébrales du patient ». Des forces d’autoguérison sont enclenchées dans le cerveau via les neurotransmetteurs et les messagers du système immunitaire. 

C’est ce que ne font plus nos médecins, en 10 mn sans vous regarder, ils vous prescrivent ce que le commerciale du laboratoire lui a  indiqué. Alors que dans bien des cas, l’écoute suffit. Le malade est entendu.


Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir
Le Docteur Delépine ne considère jamais que son patient est « foutu ». « Elle se bat jusqu'au bout » pour ses patients, témoigne Sophie Masset, dont le fils est atteint d'une tumeur au péroné.

Elle a même été accusée par un petit ponte de la cancérologie de donner « trop d'espoir » aux parents et aux enfants malades !

Et pourtant, on sait que si le médecin promet au patient une évolution positive, les améliorations ne tardent pas à poindre. Les médecins peuvent même renforcer l’effet placebo par leur comportement, en se montrant chaleureux et amicaux ou encore décidés et apaisants, comme l'a constaté l’équipe de Jos Kleijnen, un chercheur britannique en épidémiologie de York qui, en 2001, a passé au crible 25 études sur la relation médecin-patient. 

Il se pourrait donc que le Dr Delépine ait des résultats bien supérieurs à la moyenne, ainsi qu'elle l'affirme et que le rapportent ses patients. Parce qu'elle a su continuer à pratiquer une médecine humaine, faisant même régner dans les couloirs de son hôpital une atmosphère familiale, très éloignée des « couloirs de la mort » de beaucoup de nos hôpitaux modernes :


« J'ai tout de suite été frappée par l'ambiance familiale qui régnait dans ce service, raconte encore la mère d'Anaïs, atteinte d'un cancer de l'os ; tout était fait pour que l'enfant se sente bien, cette femme médecin passait constamment dans sa chambre, s'occupait d'elle, était à l'écoute. Si ma fille devait partir pour rejoindre les anges, je garderais en moi ces images de dévouement. »
Les experts ministériels ont beau jeu d'accuser le Dr Delépine de ne pas donner assez de gages de la rigueur scientifique de son approche du traitement du cancer. 

La réalité, c'est qu'à partir d'un certain degré de gravité (et le cancer de l'enfant en fait partie), la médecine est largement démunie et il n'est pas du tout évident que tel ou tel protocole soit meilleur qu'un autre (sinon, il n'y aurait pas de débat). 

En revanche, l'attitude du patient face à la maladie, la présence de l'entourage, l'implication du médecin, jouent un rôle décisif, non seulement dans les chances de guérison comme nous l'avons déjà dit plus haut, mais aussi dans les moments exceptionnellement intenses qui précèdent et qui suivent la mort, et qui peuvent être de beaux moments, osons le dire parce que ce fait est systématiquement occulté. 


Que choisiriez-vous pour  vous et votre enfant ?

La relation de confiance avec les équipes médicales et paramédicales actuellement est d'autant plus fragile à construire que vous pouvez vraiment vous trouver embarqué dans des tests cliniques inutilement risqués, comme le dénoncent le Dr Delépine et l'association AMETIST qui la soutient. 

L’important dans une guérison est LA RELATION ENTRE LE CONSULTANT ET SON PRATICIEN, c’est cela qui fait toute la différence.

Et pour maximiser vos chances de guérison, fuyez les mufles bardés de diplômes. Préférez un médecin humain, présent, et authentiquement compatissant. C'est lui qui sera le plus efficace. Ce fait a été prouvé scientifiquement, et l'affaire du Dr Delépine en est une illustration. 


 C’est ce que je fais au maximum au cabinet apcoaching, ou j’ai toujours privilégié l’écoute,  le suivit, même tard le soir ou le weekend, un mot peut faire toute la différence !!!!

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