Un Coach de vie pour se comprendre et mieux vivre

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LA TERRIBLE VÉRITÉ SUR LE CANCER!


Si vous lisez des études sur le cancer et les « progrès » dans le traitement du cancer, vous apprendrez que, désormais, de nombreux cancers « se soignent très bien » et que, pour certains d'entre eux, une grande majorité des patients « guérissent ». 





La réalité est que les progrès concernent principalement le traitement de certains cancers bien particuliers, principalement liés au sang et la lymphe. On parle de cancers des tissus liquides : la leucémie de l’enfant, le lymphome (de Hodgkin ou non-hodgkinien), la leucémie des adultes. 

Il faut aussi mentionner l’ostéosarcome, le cancer primaire de l’os, bien soignés aujourd’hui. 

C'est une très bonne nouvelle pour les personnes concernées, mais ces cancers sont rares et ne concernent que moins de 1 % des cas. 

Les autres cancers qui se « soignent » si bien concernent des organes non vitaux : vous ne pouvez plus avoir ce cancer là parce que, tout simplement, vous n’avez plus l’organe ! 

Ainsi les cancers de la prostate, de l’utérus, des ovaires et du testicule sont-ils « très bien soignés » tout simplement parce qu’on… retire la prostate, l’utérus, les ovaires, le testicule en cas de danger. 

En revanche, les cancers du sein et du côlon, des organes que l’on peut théoriquement retirer chirurgicalement sans tuer le malade, connaissent encore actuellement des taux très élevés de décès. 


Le mystère des « progrès » non visibles pour le patient, ni pour le médecin


Pour tous les autres cancers, les progrès des traitements ne sont pas assez clairs pour être constatés par le médecin, ni par son patient. 

Les seules personnes qui « voient » vraiment des progrès sont les chercheurs qui collectent des statistiques sur des protocoles de traitement impliquant des centaines ou des milliers de malades, répartis entre de nombreux hôpitaux. 

Ce sont eux qui, sur la base de ces chiffres, annoncent les progrès. 

Mais pour un individu, y compris un médecin oncologue traitant des patients toute la journée, il est très difficile d'évaluer les progrès globaux réalisés dans le traitement du cancer


La question à mille euros : fait-on des progrès dans le traitement du cancer ?


Pour savoir si le traitement du cancer progresse, on aimerait pouvoir simplement regarder si le nombre de décès par cancer régresse. 

Ce n’est malheureusement pas possible. 

En effet, le cancer est une maladie dont le risque augmente fortement avec l'âge. 

Il est donc normal que, dans une population qui vieillit, le nombre de cancers et de décès par cancer augmente. 

Pour dire les choses crûment, autrefois la plupart des gens mouraient avant d'avoir eu le temps de développer un cancer, surtout à cause des maladies infectieuses. 

Or, les statistiques du cancer qui servent de référence aux chercheurs portent principalement sur les populations européennes et nord-américaines qui ont connu une explosion du nombre de leurs personnes âgées ces quarante dernières années. 

Il est donc normal d’observer une augmentation naturelle du nombre de cancers, causée par le vieillissement de la population. 

Mais cela brouille la mesure des éventuels progrès réalisés dans le traitement du cancer : il se pourrait parfaitement qu’on ait progressé dans les traitements et que le nombre de morts par cancer ait lui aussi progressé dans le même temps, à cause du vieillissement ! 

Simplement, sans ces progrès, il y aurait eu encore plus de morts ! 

D'autre part, dans un pays donné, la population varie dans le temps. La population des Etats-Unis était de 200 millions d'habitants en 1967. Elle est de 320 millions aujourd'hui, soit + 60 %. Celle de la France est passée de 50 millions à 66 millions. Ces changements perturbent fortement les comparaisons qu'on peut faire à travers le temps : certes, il y a beaucoup plus de lits aujourd'hui dans les services de cancérologie que dans les années 70. Mais les populations ont aussi tellement augmenté ! 

De plus, la composition ethnique des populations a changé. Or les risques de cancer varient beaucoup selon les ethnies. Aux Etats-Unis, on s'est aperçu que le taux de cancer des Afro-américains était près du double de celui des Indiens [1]. 

La conséquence est la suivante : pour ces seules raisons, il serait trompeur de comparer le nombre de morts par cancer en 1970 avec le nombre de morts par cancer en 2014. Ces chiffres, qu'ils soient en augmentation ou en diminution, ne prouveraient rien sur les progrès de la médecine contre le cancer. 

Pour calculer l'évolution de la mortalité par cancer, les chercheurs sont obligés de faire des estimations sur ce qu'aurait été le nombre de morts en France, aux Etats-Unis ou ailleurs, si la population n'avait bougé ni en terme de répartition par âge, ni en nombre, ni en origine ethnique. 

De tels calculs sont impossibles en France où il est interdit de répertorier la population selon l'origine ethnique. 

On ne s'étonnera donc pas que le sujet de l'évolution de la mortalité par cancer soit l’objet d'un débat sans fin, où les opinions s'affrontent sans que personne ne puisse jamais prouver de façon définitive que le nombre de morts augmente ou régresse. 

D’où la suspicion qui n’en finit pas de peser sur l’industrie du cancer : fait-elle vraiment du bien aux gens ? Ou ne fait-elle que vendre des produits coûteux aux effets illusoires ou même délétères ?? 


Impact de l'environnement et du mode de vie


Supposons que, malgré tout, les chercheurs parviennent à prouver que le nombre de morts dûs au cancer a régressé. 

Eh bien, cela ne permettrait pas d'en tirer une quelconque conclusion sur l'efficacité des traitements médicaux ! 

En effet, de nombreux polluants fréquents dans les années 60 sont aujourd'hui interdits. Réciproquement, de nombreux polluants qui n'existaient pas dans les années 60 sont aujourd'hui omniprésents. 

Perturbateurs endocriniens, toxines cancérogènes, « effet cocktail » des pesticides et engrais présents dans l’eau du robinet, il est parfaitement possible que les effets néfastes de ces produits aient plus que compensé les progrès des traitements contre le cancer, entraînant une hausse du nombre de décès par cancer malgré les progrès des traitements

Vous imaginez comme les choses sont compliquées ! 

Par ailleurs, l'évolution du mode de vie des populations est un facteur majeur de l'évolution du nombre de cancers. 

On sait en particulier que s'exposer de manière raisonnable au soleil, en évitant les coups de soleil, permet d'optimiser son taux de vitamine D, une vitamine qui a un rôle majeur anticancer. 

Un nombre croissant de personnes se préoccupent aujourd'hui de leur taux de vitamine D, ce qui diminuera leur risque de cancer dans les années à venir. Cette diminution, qui apparaîtra dans les statistiques globales, ne devra bien sûr pas être attribuée au progrès de la chimiothérapie mais à une meilleure prévention dans la population. 

Réciproquement, le nombre de cancers pourrait augmenter du fait de la hausse de la consommation de glucides (sucres et céréales) encouragée par les pouvoirs publics, et entraînant une montée de l'obésité et du diabète, facteurs de cancers. Cette hausse pourrait à elle seule anéantir les progrès réalisés dans le traitement du cancer. 

Quel a été et quel sera l'impact de ces différents facteurs sur l'évolution du nombre de cancers ? 

Personne n'en sait rien. 


Les cancers varient en fréquence


Le problème de la mesure de l'efficacité du traitement du cancer est rendu plus aigu encore par la diversité de la fréquence des cancers. 

Certains cancers sont très fréquents, par exemple le cancer de la prostate dont on estime que 80 % des hommes en sont atteints à l'âge de 80 ans. D'autres sont extrêmement rares, comme le cancer du testicule, qui ne représente que 1 % des cas de cancer. 

Cela veut dire que le moindre changement sur le taux de survie suite au cancer de la prostate aura un impact énorme sur le taux global de survie après cancer

Par contre, les progrès énormes réalisés contre le cancer du testicule ont un effet imperceptible sur le taux global de survie au cancer. 

C'est la même chose pour la victoire contre le choriocarcinome (cancer du placenta) qui n'a eu pratiquement aucun impact sur le taux global de survie au cancer. Cela ne veut pas dire toutefois que ces progrès doivent être minimisés. 


Le « taux de survie à 5 ans » : une donnée à manier avec prudence


La mesure de base du succès du traitement du cancer est le taux de survie à 5 ans. 

Cependant ce chiffre est lui-aussi trompeur à cause de l’amélioration des techniques de dépistage. 

Ainsi, aujourd’hui, il est normal de vivre plus longtemps après le diagnostic du cancer puisque, grâce aux nouvelles techniques d’investigation, on détecte les cancers beaucoup plus tôt ! 

Mais cela ne veut pas forcément dire que, au bout du compte, vous aurez vécu plus longtemps. 

Surtout, il est bien question ici de « survie » et non de vie. Grâce à certains traitements, on peut gagner des mois en soins palliatifs tout en ayant souffert atrocement d’effets secondaires pendant des années auparavant. Est-ce vraiment un « soin » pour les malades que de vivre quelques mois de plus dans un état de délabrement qui rend impossible toute activité ? Peut-on présenter cela comme une victoire de la médecine ? 


L’idée importante à retenir


Vous comprenez maintenant pourquoi le débat fait rage sur le traitement du cancer. C’est qu’il est impossible, à l’échelle individuelle, de mesurer les progrès des traitements. 

C’est très différent de la plupart des médicaments anti-inflammatoires ou antibiotiques, notamment, où vous vous apercevez vous-même rapidement s’ils fonctionnent ou non. 

La mesure des progrès de la lutte contre le cancer se calcule sur des ordinateurs, à partir des statistiques de milliers de patients. 

Or, comme disait Winston Churchill, il y a trois sortes de mensonges : les mensonges, les gros mensonges, et… les statistiques ! 


La meilleure stratégie contre le cancer reste toujours la même


Actuellement comme autrefois, la meilleure solution reste, de loin, de prévenir le cancer. 

Adopter le mode de vie anticancer qui fera que l’on évite de devenir soi-même une nouvelle « statistique » de la lutte contre le cancer. 

Cela suppose de manger sain : peu de glucides, peu de produits laitiers riches en hormones bovines, peu de viandes et de graisses surcuites, peu de produits transformés, brûlés ou même simplement grillés, peu de produits chimiques, additifs, colorants artificiels. 

Privilégier les légumes sains, de saison, biologiques et si possible locaux. Choisissez la cuisson à la vapeur douce (90°C maxi) qui préserve les nutriments fragiles comme les antioxydants, les vitamines et les oméga-3. Luttez contre l’acidose en réduisant vos apports de chlorure de sodium (sel de table) et en augmentant vos apports de potassium présent dans les légumes. 

Faites de l’exercice physique, modérément mais de façon régulière, et évitez absolument les environnements stressants et pollués. Changez de métier, déménagez si nécessaire, mais rappelez-vous qu’on ne vit qu’une fois et que la vie moderne permet parfois de travailler au vert tout en faisant des économies considérables sur le loyer, les loisirs, la nourriture, en s’installant à la campagne et en cultivant soi-même un carré potager. 

Choisissez la vraie vie, les contacts et l’amour en chair et en os plutôt que le monde virtuel des smartphones et des séries. 

Soignez-vous avec des plantes, des médecines douces. Nous sommes là pour vous apporter les informations nécessaires et, plus important encore peut-être, pour vous accompagner et vous motiver dans votre démarche. 


Source : 

[1] What are the overall cancer incidence and death rates for different populations living in the United States? 

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LES MALADIES INVISIBLES


Si vous voyez une personne se garer sur une place handicapée et sortir de sa voiture en marchant tranquillement… 


…je vous en supplie, ne la jugez pas, n’intervenez pas. 

Sa maladie est peut-être invisible







Pour Sophie Benarosh, cela a commencé alors qu’elle était cadre très dynamique d’une multinationale américaine. 

Une maladie lourde, orpheline, incurable lui est tombée dessus brutalement : le « syndrome de fatigue chronique ». 

Bientôt, sa vie est devenue une lutte permanente. Le simple fait de sortir de son lit était une épreuve. 

Frappée d’épuisement, de douleurs et de malaises, elle a logiquement obtenu l’autorisation de garer sa voiture sur les places pour personnes handicapées. 

Mais voyez ce qui peut arriver aux personnes dont la maladie ne se voit pas : 

Lorsqu’elle a commencé à se garer sur l’emplacement handicapé près de chez elle, sa voiture est devenue « un véritable punching-ball : traces de coups, nombreuses rayures de clés sur la carrosserie ». [1] 

Car le « problème » est qu’elle n’était pas en fauteuil roulant. Elle n’avait pas « l’air » handicapée. Un jour, après être péniblement sortie de sa voiture, un homme l’a couvert d’injures (« voleuse », « usurpatrice » !). 

Et comme si cela ne suffisait pas, la police a fini par frapper à sa porte parce que des voisins « bienveillants » avaient déposé des plaintes anonymes. 


« Arrêtez de penser que j’invente une souffrance ! »


Mais cet épisode, aussi révoltant soit-il, est presque anecdotique pour Sophie. 


Là n’est pas sa réelle détresse, ni celle des millions de personnes qui, comme elle, souffrent de maladies invisibles comme : 

  • Les maladies de l’intestin ; 

  • Les dépressions ; 

  • La fibromyalgie ; 

  • La sclérose en plaque ; 

  • La polyarthrite, l’arthrose ; 

  • Les douleurs chroniques inexpliquées ; 

  • Le lupus et autres maladies auto-immunes ; 

  • L’endométriose ; 

  • Les migraines chroniques ; 

  • Lyme, et tant d’autres maladies encore… 


Contrairement aux personnes défigurées ou handicapées physiquement, ceux qui en souffrent ne subissent pas les regards curieux, obliques ou inquiets des inconnus. 


Mais – et c’est parfois bien pire – parce que leur maladie est invisible, ils doivent souvent vivre avec l’incompréhension des personnes qui leur sont les plus chères

Sophie Bennarosh raconte l’isolement terrible qu’elle a vécu auprès de sa famille et de ses amis : 


« Sur la souffrance physique et l’isolement, se greffe le sentiment de suspicion que je perçois chez chacun de mes interlocuteurs. J’ai envie de hurler « Croyez-moi ! Arrêtez de penser que j’invente une souffrance ! »



Sophie en est venue à regretter de ne pas avoir de stigmates physiques. Son apparence « intacte » la dessert. 

Car nos intuitions sont formelles : être malade, c’est avoir l’air malade. C’est être couché sur un lit d’hôpital, en fauteuil roulant ou marqué dans sa chair, par un amaigrissement extrême, ou une pâleur cadavérique. 

C’est instinctif. Qu’il s’agisse de votre propre sœur ou d’une personne que vous venez de rencontrer, vous aurez toujours la plus grande difficulté à imaginer qu’elle va mal, si elle se tient debout, les joues roses. 

Mais voici ce qui peut se passer derrière les apparences : 


« Comment lui faire comprendre qu’au moment où elle me parle, je ressens de violentes douleurs comme une multitude d’aiguilles enfoncées dans ma peau, accompagnées de brûlures musculaires et de fers de hache qui me traversent le corps. Ou des vertiges, l’impression d’avoir une très forte fièvre ou je ne sais encore quel malaise simultané. »



L’incompréhension est sans doute ce qu’il y a de plus douloureux dans les maladies invisibles. 


Le pire : affronter seul la douleur et la maladie


L’être humain peut supporter les pires épreuves, y compris l’approche de la mort, s’il est entouré de chaleur, d’amour et de compréhension


Pensez aux « poilus » dans les tranchées, il y a 100 ans. Malgré l’horreur du quotidien, une chose les faisait tenir : l’atmosphère de profonde camaraderie qui régnait entre ces « frères d’armes ». Qui se comprenaient intimement parce qu’ils vivaient la même chose. 

D’où la déception et l’isolement que beaucoup d’entre eux ont ressenti à la fin de la guerre, de retour auprès de leurs proches. En apparence, ils étaient les mêmes. Mais intérieurement, ils avaient profondément changé. Leurs proches voulaient revivre leur vie « comme avant ». Eux en étaient souvent incapables. Ce qu’ils avaient vécu les avait marqués de façon indélébile. Et ils avaient le plus grand mal à l’expliquer, à faire comprendre leur état

Les malades invisibles connaissent ce sentiment. 

Mais ils doivent en plus faire face à une terrible suspicion. Et s’ils « jouaient la comédie » ? En « faisaient un peu trop pour se faire plaindre » ? Ne seraient-ils pas un peu fainéants ? Un peu « chochotte » ? 

Un peu comme si vous étiez agressé, en plein jour… Vous criez au secours… mais les amis qui vous accompagnent rechignent à vous aider. Ils ne sont pas sûrs que vous soyez vraiment en danger. Ils se demandent même si vous ne l’avez pas un peu « cherché ». 

Ceci, au moment où vous avez le plus besoin d’empathie et de soutien. 

 Je voudrais m’adresser aujourd’hui à ceux qui ne sont PAS touchés. 

Et leur proposer ce conseil s’ils ont, dans leur entourage, une personne dans cet état. 


Ce qu’il faut éviter de dire aux personnes qui ont une maladie invisible

  • « Tu as bonne mine aujourd’hui, ça va mieux ! » 


C’est maladroit car la « mine » ne reflète pas forcément les douleurs intérieures. Diriez-vous à un proche : « tu n’as pas l’air d’être en train de traverser un terrible divorce » ? 


Et n’oubliez pas que, lorsque cela va vraiment mieux, c’est presque toujours un répit, et non un signe de rétablissement. Dans beaucoup de maladies chroniques, il y a une alternance entre des jours affreux et des jours meilleurs. 


  • « Moi aussi je suis un peu fatigué en ce moment » 


Vous ne vous rendez sans doute pas compte, mais vous êtes en train de comparer une fatigue banale avec un état qui n’a rien à voir. 


Jenny Andrews, une femme de 42 ans affectée elle-aussi de fatigue chronique, a donné cette image frappante : « Imaginez avoir une terrible nausée, avec des sacs de pomme de terre attachés à chacune de vos jambes, et que l’on vous demande de courir un marathon… Et cela, simplement pour atteindre les toilettes ». [2]  


  • « Aurais-tu des idées noires / as-tu vraiment le moral ? » 



Ceux qui souffrent de douleurs ou fatigue chronique ont généralement envie de faire mille choses… mais c’est leur état physique qui les en empêche. 

Alors quand vous leur demandez s’ils « ont le moral », avec cette suspicion que le problème est dans leur tête, ils peuvent se sentir piégés. 

Car non, en effet, ils n’ont pas forcément le moral. Difficile d’être positif, avec ces douleurs, cet épuisement, cette incompréhension qui les entoure. Oui, il leur arrive d’avoir envie de pleurer. De hurler parfois. 

Mais c’est leur état qui leur mine le moral, et non pas la tristesse qui les met dans cet état ! 


Dites ceci !


Il y a une chose très simple que vous pouvez dire à quelqu’un qui souffre. 


Quelque chose d’incroyablement fort et puissant. 

« Je te crois » 

Vous serez surpris de voir à quel point cela le ou la touchera. 

Au cabinet, je reçois des consultants souffrant de ces maladies, et la première chose que je fais, c'est que je les crois!!!!

Sources : 

[1] Sophie Bennarosh, A la recherche de ma santé perdue, Editions du Moment, 2015 

[2] 'I'd rather have CANCER than chronic fatigue syndrome': Woman who's battled condition for 10 years says people with it are unfairly labelled 'attention seekers', article paru dans MailOnline
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LE COMPLÉMENT ALIMENTAIRE INDISPENSABLE A VOTRE SANTE!


Toute stratégie nutritionnelle équilibrée et responsable commence par la prise d'un bon complément de multivitamines.


Vitamines et minéraux régulent le métabolisme, facilitent la libération d'énergie et assurent des fonctions importantes dans la synthèse des os et des tissus.

Vitamines A, E et C, zinc et sélénium ont une activité antioxydante puissante contre les radicaux libres. En outre, ils sont indispensables pour prévenir de nombreuses maladies graves comme le cancer, les maladies cardiaques, l'Alzheimer et bien d'autres (voir plus loin).

Cependant, en France, toutes les données recueillies par les enquêtes menées ces vingt dernières années montrent qu'uneproportion importante des Français est en déficit : ils ne reçoivent que la moitié (ou moins) des apports nutritionnels conseillés (ANC) pour plusieurs vitamines et minéraux [1].

Une synthèse générale de toutes les études réalisées sur les multivitamines a été publiée en 2002. Elle a conclu que, par mesure de prudence, tous les adultes devraient prendre quotidiennement des multivitamines afin de prévenir certaines maladies comme le cancer, les maladies cardiovasculaires et l'ostéoporose [2].

Le plus éminent spécialiste de la nutrition au monde, le Pr Walter Willett, directeur du Département de nutrition de l'école de santé publique de l'Université Harvard, considère que la fameuse « pyramide alimentaire » doit inclure, pour être complète et optimiser la santé, la prise quotidienne de multivitamines [3].

Cette recommandation, qui nous concerne tous, est plus valable encore pour les personnes à risques accrus de déficits par leur mode de vie :


  • personnes malades ou prenant des médicaments, surtout les statines (anticholestérol), les traitements contraceptifs, les antihypertenseurs, les anticoagulants et les anti-épileptiques.

  • personnes âgées, déprimées et/ou fatiguées.

  • personnes évitant certains aliments pour cause d'allergie ou de régime.

  • personnes stressées ou vivant dans un environnement pollué.

  • personnes s'exposant rarement ou beaucoup au soleil.

  • sportifs, femmes enceintes, enfants en croissance.

Dramatique appauvrissement nutritionnel


Un dramatique appauvrissement de notre alimentation s'est produit sous les effets conjugués de l'agriculture intensive, la sélection des variétés à croissance rapide, l'épuisement des sols, la consommation d'aliments hautement transformés.


De plus, beaucoup de vitamines et nutriments essentiels se trouvaient principalement dans des aliments qui ne sont plus consommés régulièrement (foie, cervelle, rognons…).

Nicole Darmon, chercheuse au CNAM, a calculé qu'il est possible de respecter les apports recommandés sans prendre de multivitamines… à condition de consommer des abats, mollusques, oléagineux, fruits secs et pain complet, et d'y ajouter une énorme quantité de fruits et de légumes frais, par exemple 1,25 kg par jour pour une femme !!

Une compilation d'études américaines, canadiennes et anglaises parues ces quinze dernières années l'a mesuré :


  • Une pomme, par exemple, contenait autrefois 400 mg de vitamine C. Aujourd'hui, elle n'apporte plus que 4 mg, soit 100 fois moins.

  • Même chose pour la vitamine A qui a complètement disparu des pommes de terre et des oignons.

  • Même chose pour le calcium et le fer, dont la teneur a diminué dans 80 % des végétaux étudiés.


Se nourrir sainement est indispensable, mais cela ne suffit plus à garantir les apports nécessaires en vitamines, d'autant que certaines, comme la vitamine C, se conservent mal car sensibles à la lumière, à l'oxygène ou à la chaleur (cuisson). 


Certaines vitamines poussent les cellules cancéreuses à se suicider !


Au-delà de leurs bienfaits généraux sur la santé, des études sur des maladies précises, par exemple le cancer, ont prouvé l'intérêt des multivitamines.


En effet, les multivitamines de qualité contiennent :


  • De la vitamine D qui favorise la différenciation cellulaire et diminue la prolifération cellulaire.

  • Des vitamines C, E et les bêtacarotènes présents dans les multivitamines présentent aussi un intérêt dans la prévention des cancers : ils neutralisent les radicaux libres et activent le système immunitaire.

  • Des folates (vitamine B9) jouent des rôles dans la méthylation de l'ADN, pouvant ainsi réduire le risque de cancer.


Mais le rôle anticancer le plus spectaculaire des compléments de multivitamines est qu'ils poussent les cellules cancéreuses à se suicider.


En effet, la vitamine D et une forme particulière de vitamine E (les tocotriénols, présents dans les multivitamines de bonne qualité) favorisent l'apoptose.

L'apoptose est un phénomène naturel au cours duquel les cellules se suicident.

Dans un article paru dans BMC Complementary and Alternative Medicine, des chercheurs malaisiens ont montré l'action cytotoxique des tocotriénols sur des cellules cancéreuses [4].

Une étude de Harvard de 2012 a montré un lien entre la prise de multivitamines, même sur quelques années seulement, et une baisse de 14 à 33 % du risque de polypes dans le côlon (tumeurs bénignes pouvant évoluer en tumeurs cancéreuses). Pour rappel, le cancer colorectal est un des cancers les plus fréquents [5].

L'étude, réalisée pour les femmes, a montré un effet particulièrement important des multivitamines contre les plus gros adénomes (moins 25 %).

valer des multivitamines rend plus intelligent, selon des chercheurs britanniques


La prise quotidienne de compléments de multivitamines peut améliorer les performances cognitives des enfants comme des adultes : (concentration, mémoire, rapidité d'esprit… expliquent les chercheurs britanniques. 


Dans une série d'articles publiés dans le British Journal of Nutrition, Psychopharmacology, et Human Psychopharmacology, des équipes de neuroscientifiques britanniques ont étudié les effets des compléments de multivitamines sur le moral, le niveau de stress et les fonctions cognitives.

Bien que les enquêtes se soient étalées sur quatre à douze semaines, les effets se sont en fait manifestés dès les premières semaines :


  • Les hommes prenant des complexes de vitamines B témoignent d'une hausse de leurs performances cognitives, sont moins fatigués mentalement et ont plus de vigueur.

  • Les femmes prenant des compléments de vitamines et de minéraux font preuve d'une plus grande précision ainsi que d'une plus grande vitesse à exécuter des tâches multiples.

  • Les enfants de 8 à 14 ans montrent une plus grande faculté de concentration.

Bon pour le cœur comme pour les yeux


Prendre un supplément multivitaminé pourrait aussi réduire de 40 % le risque d'un infarctus du myocarde (crise cardiaque) à long terme. C'est ce qu'indiquent les résultats d'une étude suédoise menée auprès d'environ 34 000 femmes de 49 ans et plus, suivies durant une dizaine d'années [6].


Les multivitamines qui contiennent de la vitamine C et du magnésium [7] abaissent significativement la tension artérielle [8], un facteur de protection contre le risque d'infarctus ou d'AVC. Pour cela il faut 400 mg de vitamine C par jour, une quantité quasi inatteignable par l'alimentation seule de nos jours.

Au cours d'un essai clinique mené en Chine, 2141 personnes âgées de 45 à 74 ans ont pris chaque jour durant 5 ans soit un placebo, soit deux capsules de multivitamines et 15 mg de bêtacarotène. Chez les personnes de 65 à 74 ans, il y a eu nettement moins de cataractes (problème de vue) que chez celles du groupe placebo [9].

Dans ces conditions, les discours de certains médecins et nutritionnistes qui prétendent que « prendre des vitamines est inutile lorsqu'on mange équilibré » ressemblent, au mieux, à une incapacité de voir la réalité en face et, au pire, à une ignorance coupable. 


81 % des professionnels de santé américains prennent des multivitamines


Et de fait, aux Etats-Unis, 81 % des professionnels de la santé prennent un complément de multivitamines et minéraux [10].


Les Européens sont à la traîne, une fois de plus. Ils persistent dans la dangereuse idée qu'on a suffisamment de vitamine D tant qu'on ne souffre pas de rachitisme, ou qu'on a assez de vitamine C tant qu'on n'attrape pas le scorbut. 

Rien ne pourrait être plus faux. En réalité, ces maladies ne sont que les manifestations les plus graves d'une carence en vitamines.

Bien avant que n'apparaissent ces maladies, votre corps et votre esprit cessent de fonctionner de façon optimale. Selon le Pr David Kennedy de l'université de Northumbria, « le niveau de vitamines optimal est largement au-dessus du niveau qui permet d'éviter les maladies ».


Nouveau ! Les multivitamines protègent contre la maladie d'Alzheimer


Et ce d'autant plus qu'on continue de découvrir de nouveaux bienfaits aux multivitamines. La recherche est en pleine ébullition.


Dans une revue de la littérature scientifique parue en 2014 dans le journal Nutrition, les auteurs ont montré que l'utilisation de vitamines retarde le vieillissement du cerveau et prévient l'apparition de la maladie d'Alzheimer chez les personnes âgées.

Les auteurs de l'étude sont affirmatifs sur l'utilité de prendre des compléments de vitamines :


« Les études montrent que les personnes âgées ont des apports insuffisants en vitamines, notamment A, C, D, E, K et folates (B9), une situation qui peut être améliorée par la prise de suppléments vitaminiques. »


« Dans de nombreux cas, les patients atteints d'Alzheimer ont des niveaux sériques de micronutriments significativement plus faibles que les personnes du même âge qui ne sont pas malades [11]. »


Les micronutriments ont un effet important sur les fonctions cognitives : certains sont impliqués dans la synthèse de neurotransmetteurs, d'autres sont indispensables à la production d'énergie dans le cerveau.


Les folates, vitamines B6 et B12, sont impliqués dans le métabolisme de l'homocystéine, une réaction très importante car des niveaux sanguins élevés d'homocystéine sont associés à une baisse des capacités intellectuelles et cognitives.

On ne s'étonnera donc pas de la conclusion des chercheurs qui déclarent, au sujet des multivitamines :


« Ces nutriments ne sont pas chers, n'ont pratiquement pas d'effets secondaires lorsqu'ils sont utilisés aux doses recommandées, et sont essentiels à la vie… »


« Cette stratégie pour prévenir la démence a d'autant plus d'importance que l'espérance de vie augmente et qu'il faut donc que l'espérance de vie en bonne santé soit à la hauteur. La dernière décennie de vie est souvent marquée par l'invalidité et la maladie, notamment la perte des fonctions cognitives et la démence. »

L'hostilité à peine voilée de certains milieux médicaux


D'un point de vue scientifique, il n'y a pas de doute que les multivitamines devraient figurer aujourd'hui au centre de l'arsenal médical pour prévenir les maladies graves.


Pourtant, les autorités de santé oscillent entre silence gêné et critiques ouvertes à l'égard des compléments de vitamines.

Cette attitude trahit à mon avis un manque extrêmement inquiétant d'objectivité. Elle jette surtout un doute troublant sur leur indépendance vis-à-vis des grandes sociétés pharmaceutiques, lesquelles ont évidemment intérêt à ce qu'un maximum de personnes « oublient » ce dispositif essentiel dans la prévention des maladies.

C'est pourquoi il m'a semblé incontournable de faire la synthèse ci-dessous sur la façon de choisir le meilleur complément de multivitamines. Il est très difficile de trouver des informations objectives à ce sujet ailleurs.


Les critères de qualité d'un complément de multivitamines


Un bon multivitamines comprend une combinaison de vitamines et de minéraux à des doses nutritionnelles, c'est-à-dire des quantités sont potentiellement atteignables par une alimentation très importante et très riche en micronutriments. 


Toutefois, il y a deux exceptions très importantes : recherchez absolument des multivitamines contenant au moins 300 mg de vitamine C et au moins 1000 UI de vitamine D par jour - ou plus si possible. Ces doses sont très supérieures aux ANC, mais elles correspondent aux besoins réels définis par toutes les recherches scientifiques sérieuses récentes. Ce sont les recommandations officielles qui se trompent.

D'autre part, choisissez impérativement un multivitamines contenant de la vitamine E vraiment naturelle. Vous la reconnaissez par les appellations précises « d-alpha-tocophérol », « d-bêta-tocophérol », « d-delta-tocophérol » et « d-gamma-tocophérol ». Attention, ce sont des substances naturelles rares, très coûteuses, et beaucoup de fabricants mettent de la vitamine E synthétique, auquel cas vous voyez simplement écrit « vitamine E » ou alors « dl-alpha-tocophérol », etc.

Veillez particulièrement à choisir un multivitamines contenant une bonne dose de vitamine B9 (400 microgrammes) sous forme de folates et non d'acide folique. La bonne réputation de l'acide folique est en effet usurpée. L'acide folique est en fait la version artificielle de la vitamine B9 ; elle est suspectée d'augmenter le risque de cancer et de ne pas avoir que des effets positifs sur la santé. La vitamine B9 sous forme naturellement active se trouve sous les termes : méthylfolate, 5-méthyl-tétrahydrofolate, acide folinique ou encore folinate de calcium.

Concernant le magnésium, dont il est important que le multivitamines en soit riche, deux formes se distinguent pour leur bonne biodisponibilité et leur meilleure tolérance : le citrate, le glycérophosphate, le bisglycinate et le malate de magnésium. Attention, les fabricants ne se gênent pas pour inscrire « magnésium marin » quand ils proposent en fait un mélange d'oxyde et de chlorure de magnésium peu assimilables, quand il ne provient pas carrément d'un laboratoire !

Soyez enfin attentif aux quantités de zinc, qui ne devraient pas excéder 15 mg par jour. Un peu de zinc est indispensable au système immunitaire et pour se protéger du cancer ; en revanche, à dose élevée il semble augmenter le développement du cancer de la prostate [12].


Les multivitamines à éviter


Evitez à tout prix les multivitamines qui contiennent du fer et du cuivre : ces substances deviennent oxydantes et cancérigènes lorsqu'elles sont détachées des aliments. Une étude américaine sur plus de 38 000 femmes a montré que ces éléments augmentent le risque de mourir lorsque la personne ne souffre pas d'un déficit franc [13].


Evitez les multivitamines qui contiennent du calcium : contrairement à une idée reçue, il est très rare de souffrir d'un manque d'apports en calcium. Par contre, les compléments de calcium augmentent le risque d'infarctus et nuisent à l'absorption d'autres éléments importants, comme le zinc.

Méfiez-vous des mégadoses : certains multivitamines, en particulier les produits américains, sont trop dosés et ne devraient être utilisés qu'avec prudence sous surveillance médicale.

Méfiez-vous enfin des multivitamines qui contiennent des listes interminables d'ingrédients a priori intéressants. C'est une astuce marketing car, pour réussir à intégrer tous ces éléments dans les gélules en plus des vitamines, les fabricants n'ont qu'une seule option possible : mettre des doses infimes qui n'ont aucun effet.


Sources : 

[1] Herbeth B, Potier de Courcy G, Sancho J, Bourgeay-Causse M, Carreguery G, Chau N, Delacoux E, Le Devehat C, Lemoine A, Mareschi JP, et al. «ESVITAF». Survey on the vitamin status of the French: relationships between nutrient intake and biochemical indicators. Acta Vitaminol Enzymol. 1985;7(3-4):207-15. Hercberg S, Preziosi P, Galan P, Deheeger M, Papoz L, Dupin H. [Dietary intake of a representative sample of the population of Val-de-Marne; III. Mineral and vitamin intake]. Rev Epidemiol Sante Publique. 1991;39(3):245-61. De Carvalho MJ, Guilland JC, Moreau D, Boggio V, Fuchs F. Vitamin status of healthy subjects in Burgundy (France). Ann Nutr Metab. 1996;40(1):24-51. Hercberg S. Communiqué de la coordination nationale SU.VI.MAX. Paris, 6 novembre 1998. 

[2] Fairfield KM, Fletcher RH. Vitamins for chronic disease prevention in adults: scientific review. JAMA. 2002 Jun 19;287(23):3116-26. 

[3] Willett WC, Stampfer MJ. Clinical practice. What vitamins should I be taking, doctor?. N Engl J Med . 2001 Dec 20;345(25):1819-24. 

[4] Lim SW, Loh HS, Ting KN, Bradshaw TD, Zeenathul NA. Cytotoxicity and apoptotic activities of alpha-, gamma- and delta-tocotrienol isomers on human cancer cells. BMC Complement Altern Med. 2014 Dec 6;14(1):469. 

[5] Massa J, Cho E, Orav EJ, Willett WC, Wu K, Giovannucci EL. Long-term use of multivitamins and risk of colorectal adenoma in women. Br J Cancer. 2014 Jan 7;110(1):249-55. doi: 10.1038/bjc.2013.664. Epub 2013 Nov 12. 

[6] Rautiainen S, Akesson A, et al . Multivitamin use and the risk of myocardial infarction: a population-based cohort of Swedish women . Am J Clin Nutr. 2010 Sep 2 

[7] Kass L, Weekes J, Carpenter L. Effect of magnesium supplementation on blood pressure: a meta-analysis. Eur J Clin Nutr. 2012 Apr;66(4):411-8 

[8] Stephen P Juraschek, Eliseo Guallar, Lawrence J Appel, Edgar R Miller III. Effects of vitamin C supplementation on blood pressure: a meta-analysis of randomized controlled trials Am J Clin Nutr 2012 ajcn.027995; First published online April 4, 2012 

[9] The Linxian cataract studies: two nutrition intervention trials . Sperduto RD, Hu TS, et al. Arch Ophthalmol 1993;111:1246 -53. 

[10] Gardiner P, Woods C, Kemper KJ. Dietary supplement use among health care professionals enrolled in an online curriculum on herbs and dietary supplements, BMC Complementary and Alternative Medicine , 12 juin 2006. 

[11] Mohajeri MH, Troesch B, Weber P. Inadequate supply of vitamins and DHA in the elderly: Implications for brain aging and Alzheimer-type dementia. Nutrition. 2015 Feb;31(2):261-275. 

[12] Leitzmann MF, Stampfer MJ, Wu K, et al. Zinc Supplement Use and Risk of Prostate Cancer. Journal of the National Cancer Institute 2003;95:1004-1007. 

[13] Mursu J, Robien K, Harnack LJ, Park K, Jacobs DR Jr. Dietary supplements and mortality rate in older women: the Iowa Women’s Health Study. Arch Intern Med. 2011 Oct 10;171(18):1625-33. 
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